Parade aux récits apocalyptiques, le jardin nous invite à re-devenir terrestre, dans une relation quotidienne avec le vivant.
Être vivant.es
Vivre au jardin, c’est prendre part à la sculpture d’un territoire avec les moyens du bord, au rythme des saisons. C’est s’insérer dans un réseau d’acteurs-créateurs (faune, flore, voisinage) qui n’en finit pas de façonner un habitat commun.
A chaque mois, chaque jour, ses gestes simples…
Vers la résilience
Au val des possibles, nous tendons vers une vie éco-logique : penser et agir à la juste mesure d’un système dynamique dont tous les éléments interagissent, et dont nous faisons partie – unmonde infini aux ressources finies. Notre approche expérimentale, sensible et réflexive, nourrie d’observations, de lectures, d’intuitions fortes, nous conduit au fil du temps vers l’éco-culture et la résilience.
Au val, Blandine sculpte aussi des objets du quotidien, entièrement à la main, dans des essences de bois local (ou de récupération).
Scies, hâches, couteaux et gouges sont ses outils de prédilection. Puis, les copeaux vont au jardin !